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SOMMAIRE
 
En 2018, 54 millions de contrats circulaient en France détenus par 39% des ménages (1). Et en 2020, malgré le contexte sanitaire, les Français ont investi plus de 116 milliards d’euros dans l’assurance vie (2).
Les Français affectionnent tout particulièrement l’assurance vie en raison de la diversification des supports qu’elle propose, de sa complémentarité aux autres placements, de sa fiscalité spécifique et des performances supérieures aux livrets règlementés (livret A, livret de développement durable…).
Ouvrir un contrat d’assurance vie, c’est opter pour un placement long terme qui vous permettra d’épargner afin d’obtenir ou de valoriser un capital dans l’objectif de réaliser un projet ou de préparer la transmission de votre patrimoine.
 
(1) INSEE “Le patrimoine des ménages” – 2018      (2) Fédération française de l’assurance – 2020
Le contrat d’assurance vie est une enveloppe fiscale dans laquelle vous versez de l’argent, votre épargne. Cette épargne est ensuite placée sur des supports financiers : fonds en euros ou unités de compte, à risque et horizon de placement différents
En tant que souscripteur, vous avez la possibilité de choisir les supports qui correspondent le plus à vos attentes : vous détenez ainsi un contrat en quelque sorte personnalisé.
L’assurance vie ne doit pas être confondue avec l’assurance décès. C’est un contrat dont vous pouvez profiter de votre vivant, comme son nom l’indique !
En tant que souscripteur, vous pouvez retirer tout ou partie de votre épargne (opération appelée rachat), à tout moment et pour des raisons qui vous sont propres, en tenant compte du fait qu’avant les huit ans de détention de votre contrat, vous perdez l’avantage fiscal de l’assurance vie.
Néanmoins, en cas de décès, le contrat est dénoué en transmettant au(x) bénéficiaire(s) que vous avez préalablement désigné(s), le capital et les intérêts potentiellement générés.
Le saviez-vous ? Si vous souhaitez opter pour la diversification (investir dans différents types de contrat) ou répondre à plusieurs besoins (financer des études, préparer votre retraire…), vous pouvez ouvrir autant de contrats d’assurance vie que vous le souhaitez, chez un même assureur ou chez plusieurs assureurs.  
CORUM Life est un contrat d’assurance vie en unités de compte. Les unités compte sont les parts de SCPI, fonds obligataires et solidaires qui composent votre contrat CORUM Life. Ces fonds présentent des risques propres incluant celui de perte en capital. Contrairement au contrat d’assurance vie en fonds euros, CORUM Life n’offre aucune garantie en capital (sauf en cas de décès jusqu’à 65 ans). Les montants investis dans le contrat CORUM Life sont donc sujets à des fluctuations, à la hausse ou à la baisse, et présentent des risques dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers ou immobiliers. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
L’assurance vie permet de vous constituer un capital pour soutenir financièrement vos projets à venir. C’est un placement financier qui répond à de nombreux besoins.
Diversifier vos placements
Compléter votre retraite
Bénéficier d’avantages fiscaux
Pour choisir les fonds qui composeront votre contrat, en adéquation avec votre profil investisseur actuel et à venir, plusieurs facteurs doivent être évalués : situation patrimoniale, objectif d’investissement, horizon de placement et appétence au risque.
L’assurance vie n’étant pas un placement court terme, à la différence de l’épargne de précaution (livrets réglementés tels que le livret A ou le livret de développement durable), il vous est recommandé d’épargner au minimum huit ans afin de profiter de sa fiscalité avantageuse, voire plus selon les fonds sur lesquels votre épargne est investie.
Quant à votre profil d’épargnant, il est apprécié d’après votre connaissance des marchés financiers mais également d’après votre appétence au risque. Il est nécessaire d’estimer cette dernière afin de déterminer le bon contrat et les fonds le composant.
Pour vous guider dans la définition du couple rendement / risque, les fonds proposés sont classés sur une échelle de risque AMF allant de 1 à 7 (1 étant le moins risqué).
Il est recommandé de vous faire accompagner par des conseillers spécialisés.
Toutefois, vous trouverez ci-dessous les typologies de supports à privilégier en fonction de votre profil investisseur :
 
Prudent
(la sécurité avant tout)
+ : sécurité du placement puisque les intérêts sont définitivement acquis et s’ajoutent au capital garanti.
– : rendement peu attractif, potentiellement inférieur à l’inflation et pénalisé par les frais de gestion. Rigidité du placement car aucun arbitrage vers des fonds plus rentables.
Dynamique
(la performance compte)
+ : diversité du placement et possibilité de rendement élevé.
– : seul le nombre d’unités de compte est garanti et non leur valeur. Risque de perte en capital. Les performances ne sont pas garanties.
 
Dans la plupart des contrats d’assurance vie, il est possible de panacher fonds en euros et unités de compte. Cette diversification des supports permet d’ajuster son investissement par rapport à son appétence au risque.
Le saviez-vous ? Contrairement à la détention de part de SCPI en direct, vous ne pouvez pas percevoir les revenus potentiels générés par les fonds qui composent votre contrat. Les gains sont automatiquement réinvestis dans votre contrat pour augmenter votre capital et sont soumis à des frais.  
Coté actualités, les épargnants en assurance vie se désintéressent de plus en plus des traditionnels fonds en euros et ce au profit des unités de compte. Même si leurs rendements restent supérieurs à ceux des livrets règlementés, la baisse des taux d’intérêt affecte leur modèle de rentabilité. Par conséquent, les supports en unités de compte, plus risqués mais potentiellement plus rentables que les fonds en euros, représentent une part de plus en plus importante dans les versements en assurance vie, passant en moyenne de 15 % des versements en 2011, à près de 40 % en 2020 (respectivement 85 % en 2011, et 60 % en 2020 pour les supports placés sur les fonds en euros). Source : Le marché de l’assurance vie pendant la crise sanitaire – ACPR n°121 – 2021
Les montants investis en unités de compte ne sont pas garantis : la valeur de chaque unité peut fluctuer à la hausse comme à la baisse. Les contrats en unités de comptes présentent donc un risque de perte en capital (plus ou moins important selon la nature de l’investissement) et aucune garantie d’intérêts, mais peuvent offrir des perspectives de rendement plus importantes en contrepartie de ces risques.
 

L’imposition des plus-values lors des rachats
Pour commencer, il est important de comprendre que, tant que votre épargne reste investie, le capital et les plus-values (gains) générées sur votre contrat d’assurance vie ne sont pas imposées à l’impôt sur le revenu.
Rappelons également qu’il est possible de récupérer tout ou partie de votre épargne en procédant à des retraits (rachats) quand bon vous semble. Sur ce dernier point, la fiscalité variera en fonction du moment auquel interviendra votre retrait (rachat) :
Avant huit de détention du contrat : les plus-values réalisées sur votre contrat (hors versements initial, ponctuels ou réguliers faits sur votre contrat) s’ajouteront à votre revenu imposable et seront par conséquent soumises à l’impôt correspondant.
Après huit de détention du contrat : c’est à partir de ce moment que l’avantage fiscal opère. Vos plus-values (et non vos versements) seront exonérées d’impôt dans la limite de 4 600 euros par an si vous êtes célibataire, veuf(ve) ou divorcé(e) et 9 200 euros par an pour un couple soumis à l’imposition commune. Au-delà de ces plafonds, les plus-values générées par les versements inférieurs à 150 000 euros (300 000 euros pour un couple) sur l’ensemble des contrats détenus seront taxées à 7,5 % (au lieu de 12,8 %) et s’ajouteront les prélèvements sociaux au taux de 17,2 %.
Le saviez-vous ? Afin de pouvoir bénéficier chaque année de l’abattement fiscal de l’assurance vie, il est recommandé d’échelonner vos retraits (rachats) après huit ans de détention du contrat. 
Cycle de vie assurance vie

La fiscalité de l’assurance vie en cas de décès
Un des autres avantages fiscaux de l’assurance vie intervient au moment de la transmission de votre patrimoine. À noter qu’en cas de décès, votre contrat d’assurance vie n’étant pas soumis aux droits de succession (pour les versements réalisés avant 70 ans), il n’a pas à être déclaré au notaire.
Il bénéficie en effet d’un régime fiscal d’exception. Le contrat est alors dénoué et le capital est versé à vos bénéficiaires. Lorsque votre conjoint(e) est déclaré(e) comme bénéficiaire, le capital est exonéré de droit de succession et de taxation. Pour les autres bénéficiaires, il l’est dans une certaine limite et en fonction de l’âge auquel vous avez effectué vos versements.
À l’ouverture de votre contrat d’assurance vie, une clause bénéficiaire est disponible pour vous permettre de désigner à qui reviendra le capital au dénouement de votre contrat par décès. Vous avez alors la possibilité de choisir librement un ou plusieurs bénéficiaires et d’indiquer la quote-part du capital leur revenant : votre conjoint, enfant, petit-enfant, membre de votre famille, ami(e) ou autre personne physique ou morale.
L’intérêt de cette clause est de transmettre le capital de votre contrat d’assurance vie à vos bénéficiaires de manière optimisée car hors succession.
Elle permet aussi de faire une donation à des personnes qui ne seraient pas désignées comme héritiers légaux.
Sans clause spécifique, le capital est automatiquement versé au conjoint, et à défaut, aux héritiers du souscripteur.
Le saviez-vous ? La clause bénéficiaire de l’assurance vie est un bon moyen d’effectuer une succession transgénérationnelle, en transmettant légalement une part de son patrimoine à ses petits-enfants. 
Au décès de l’assuré, la garantie en cas de décès, plus communément appelée garantie plancher, assure au(x) bénéficiaire(s) du contrat d’assurance vie un capital minimum égal aux sommes qui ont été versées* par le souscripteur. Ce système permet de le(s) prémunir de potentielles pertes subies.
En fonction du type de contrat choisi, l’importance de cette garantie se mesure. En effet, si les fonds en euros présentent une garantie des sommes versées, ce n’est pas le cas pour les unités de compte qui présentent des risques de perte en capital car elles supportent l’évolution des marchés.
L’assureur peut alors proposer cette garantie gratuitement ou sous forme de cotisation, plafonnée ou non et limitée en âge.
Le saviez-vous ? CORUM Life inclut gratuitement une garantie de 100 % des sommes versées* en cas de décès de l’assuré(e) jusqu’à 65 ans, et dégressive de 5 % par an de 66 à 75 ans. * hors frais de souscription et déduction faite des retraits (rachats).
* hors frais de souscription et déduction faite des retraits (rachats).
CORUM Life est un contrat d’assurance vie en unités de compte. Les unités compte sont les parts de SCPI, fonds obligataires et solidaires qui composent votre contrat CORUM Life. Ces fonds présentent des risques propres incluant celui de perte en capital. Contrairement au contrat d’assurance vie en fonds euros, CORUM Life n’offre aucune garantie en capital (sauf en cas de décès jusqu’à 65 ans). Les montants investis dans le contrat CORUM Life sont donc sujets à des fluctuations, à la hausse ou à la baisse, et présentent des risques dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers ou immobiliers. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Un des points fort qui fait de l’assurance vie, le placement préféré des Français, est sa souplesse.
C’est une solution d’épargne qui peut s’adapter à tous les membres de la famille. Un contrat pour votre enfant, dès sa naissance, afin de lui faire bénéficier, durant sa vie active, de l’avantage fiscal de l’assurance vie. Un contrat en co-souscription avec votre conjoint(e), dans le cadre d’un mariage sous le régime de la communauté de biens, pour anticiper la transmission de votre patrimoine commun.
Vous pouvez également choisir d’ouvrir, seul(e) ou à deux, plusieurs contrats d’assurance vie en fonction de votre stratégie d’épargne.
Le saviez-vous ? Contrairement aux idées reçues, passé 70 ans, il vous est possible d’ouvrir un contrat et d’y faire des versements pour bénéficier d’une déduction supplémentaire de 30.500 euros et de l’exonération sur les gains générés.
A l’ouverture de votre contrat, il vous faudra choisir le type de gestion qui correspond le plus à votre profil :
– Soit de façon guidée, avec la gestion profilée qui consiste à vous recommander une formule prédéfinie parmi plusieurs en fonction de votre horizon d’investissement, de votre situation patrimoniale, de votre appétence au risque et de vos convictions.
– Soit de manière autonome, avec la gestion libre qui consiste à vous laisser décider de la composition de votre contrat, en choisissant les fonds que vous souhaitez inclure parmi la gamme proposée.
Si besoin, vous pouvez-vous faire accompagner par les conseillers spécialisés de l’assureur retenu ou par un conseiller en gestion de patrimoine pour choisir votre mode de gestion.
Il est également possible d’opter pour la gestion sous mandat également appelée la gestion pilotée. Elle consiste à confier, à votre assureur ou à une société de gestion, la pleine gestion de votre contrat. Ainsi, le gestionnaire de votre contrat d’assurance vie pourra être amené à modifier votre portefeuille en fonction de l’évolution des marchés et de vos objectifs de placement.
Le saviez-vous ? L’arbitrage vous permet de modifier la répartition de votre placement en transférant une partie ou la totalité de votre épargne sur un ou plusieurs autres supports disponibles. Il est important de noter que l’arbitrage est souvent soumis à des frais.
La souplesse de l’assurance vie est également caractérisée par la liberté du souscripteur dans ses versements. Contrairement aux livrets règlementés, l’assurance vie n’impose aucun plafond. Vous pouvez donc procéder aux versements souhaités sans limite de montant et de fréquence. A noter que très souvent les versements complémentaires sont sujets à des frais, au même titre que le versement initial.
Versement lors de la souscription : en fonction de votre assureur, le montant minimum à verser est variable, de quelques dizaines à quelques milliers d’euros. Vous pouvez également décider de ne faire qu’un seul versement pour ne plus avoir à gérer par la suite votre contrat.
Versements réguliers : vous pouvez vous engager à verser une somme de façon périodique (mensuelle, trimestrielle, semestrielle) par prélèvement bancaire. Ces versements programmés peuvent être stoppés à votre gré.
Versements libres : comme son nom l’indique, vous avez la liberté de verser des sommes complémentaires sur votre contrat. Certains assureurs fixent un montant minimum par versement.
Le saviez-vous ? Vous avez la possibilité d’ouvrir un contrat CORUM Life et de mettre en place des versements mensuels ou ponctuels à partir de 50 €.
Je concrétise mon projet d’épargne
J’en parle avec un conseiller dédié, disponible du lundi au samedi, de 9h à 19h, ou je démarre un parcours en ligne.
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