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Les épargnants de la classe moyenne ont été échaudés par les contraintes d’accès au fonds en euros.
Ces dernières années, le placement préféré des Français a opéré une mue: les placements en actions et en fonds immobiliers sont montés en puissance au détriment des fonds en euros sans risque. Cette évolution de l’assurance-vie a-t-elle laissé sur le côté les épargnants les moins aisés? Oui pour le cabinet Facts & Figures, qui publie ce mardi son baromètre 2022 de l’épargne-vie individuelle. «On dit aujourd’hui que les Français ont davantage d’appétit pour le risque. C’est vrai, mais surtout pour les 10 % les plus riches», rappelle Cyrille Chartier Kastler, fondateur du cabinet Facts & Figures.
Désormais, les épargnants standards – ceux qui détiennent en moyenne 20.000 euros d’encours – ne fournissent plus qu’un tiers des dépôts, selon Facts & Figures. C’était la moitié il y a dix ans. À l’inverse, la clientèle dite «patrimoniale» – 53.500 euros d’encours moyen – ou la clientèle de gestion privée – 195.000 euros d’encours moyen – représentent désormais 70 % des versements en assurance-vie…
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