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Nouveau sur Investir.fr ?

Nous avons l’immense plaisir de vous présenter notre simulateur, conçu en partenariat avec le courtier Placement-direct, pour savoir quelle est la solution d’épargne la plus adaptée à votre situation entre le Plan d’épargne retraite (PER) et l’assurance-vie. Deux placements qui peuvent, chacun à leur manière, nourrir l’objectif de préparer un complément de revenus pour vos vieux jours. Nous avons toutefois dû simplifier quelque peu les paramètres pour concilier lisibilité et pertinence du conseil. Nota bene : notre modèle considère que l’économie d’impôt avec le PER est réinvestie dans le contrat. Plus d’informations sur notre méthode en bas de page.
L’investissement en unités de compte comporte un risque de perte en capital et il revient à l’épargnant de savoir quel niveau de diversification hors support sécurisé (1,3% en moyenne pour les fonds euros en 2020) il ou elle est prêt à accepter pour espérer un meilleur rendement. Aucune donnée n’est conservée par Investir ni Placement-direct.

Pour le PER, nous partons du principe que vous choisissez de déduire vos versements de votre revenu imposable. C’est ce qu’il y a de plus sensé à notre avis. Cependant, il n’est possible de défiscaliser qu’une certaine somme chaque année, mais nous n’avons pas intégré ce plafond (qui change chaque année). Il revient aux internautes de faire attention à ne pas le dépasser. Il représente 10% des revenus professionnels avec une limite selon que vous êtes salarié ou indépendant, il est par ailleurs cumulable sous certaines conditions (voir ligne “Plafond d’épargne retraite” sur votre avis d’imposition pour connaître le montant exact). Nous présupposons aussi que vous allouez l’économie d’impôt en intégralité au contrat, car l’inverse serait potentiellement contre-productif pour beaucoup d’épargnants. De cette manière, nous prenons en compte la capacité d’épargne brute en entrée, cela permet de comparer des choses identique. Avec notre simulateur, la sortie s’effectue en capital, bien qu’il soit possible d’opter pour des rentes viagères.
Côté assurance-vie, la fiscalité en sortie part du principe que le contrat a plus de huit ans et que les primes n’excèdent pas 150.000 euros. Dans ce cadre, l’assuré bénéficie d’un abattement de 4.600 euros (le double pour un couple) sur les gains. Une somme pour laquelle les prélèvements sociaux (17,2%) restent néanmoins applicables. Au-delà, il faut ajouter un taux d’imposition préférentiel de 7,5% (contre 12,8% normalement). Autre élément à garder en tête : l’argent placé sur une assurance-vie reste disponible à tout moment, alors qu’il faut attendre la retraite pour pouvoir profiter de son PER (sauf cas exceptionnels de sortie anticipée).
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