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Assurance vie
Par Le Revenu
Publié le 03/05/2017 à 16:27 – Mis à jour le 15/07/2020 à 12:57
Les occasions d’utiliser le capital placé sur votre contrat d’assurance vie sont nombreuses : financer un projet patrimonial, se constituer un complément de revenus réguliers, faire face à une dépense inattendue ou encore à un besoin temporaire de trésorerie.
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Les meilleurs contrats d’assurance vie pour 2020
Selon vos besoins, différentes solutions s’offrent à vous.
Pour dégager des liquidités de son contrat d’assurance vie, le retrait est le moyen le plus utilisé. Bon à savoir : les assureurs ne parlent pas de retrait, mais de rachat. Cette opération permet d’obtenir le versement du capital, soit en totalité par le biais d’un rachat total, soit de façon épisodique par le biais de rachats partiels, soit de façon régulière par le biais de rachats partiels programmés.
Le rachat total met, bien sûr, fin au contrat. L’assureur vous verse alors l’équivalent de la valeur totale du contrat, après prélèvement sociaux et fiscaux. Inversement, lors d’un rachat partiel ou de rachats programmés, le contrat se poursuit, minoré des montants retirés, en conservant les avantages fiscaux liés à son antériorité.
La demande de rachat peut se faire à tout moment. Définissez le type de rachat que vous souhaitez faire, son montant, les supports financiers à racheter (en cas de contrat multisupport), la date, sa périodicité éventuelle et l’option fiscale retenue.
Pour obtenir une somme significative afin de financer une dépense ponctuelle, optez pour un «rachat partiel». Si vos besoins sont importants, par exemple lors de l’acquisition d’un bien immobilier, évitez si possible de clôturer le contrat par un rachat total, celui-ci pouvant servir de réceptacle plus tard. 1000 euros permettent dans de nombreux cas de garder ouvert le contrat.
Enfin, pour vous constituer des revenus complémentaires, mettez en place des rachats partiels programmés.
Lorsque le rachat concerne le support en euros, nous vous conseillons de demander son exécution en début d’année après le versement de la participation aux bénéfices. Sinon, le rendement de votre fonds en euros peut être amputé de 20 à 25% selon les contrats et les assureurs.
Votre assureur peut vous proposer de bénéficier d’une avance, c’est-à-dire d’un prêt in fine que la compagnie vous consent, moyennant un taux d’intérêt conventionnel, pour une somme comprise entre 60% et 80% de l’épargne accumulée sur votre contrat.
Préférez une avance à un rachat partiel en cas de besoin ponctuel de liquidités que vous serez en mesure de rembourser rapidement.
Le principal avantage d’une avance est qu’elle permet de disposer de fonds sans que l’opération soit considérée comme un retrait. Vous ne touchez pas à l’épargne placée sur votre contrat qui continue à être rémunérée et l’opération est neutre fiscalement. Du coup, la fiscalité des retraits ne vous sera pas appliquée.
Le délai de remboursement maximal est fixé à trois ans, renouvelable une fois. Attention, si, au terme, vous n’avez pas remboursé l’avance qui vous a été consentie, l’assureur procédera à un rachat automatique sur votre contrat.
Les conditions d’obtention varient d’un établissement à l’autre. D’une manière générale, les avances ne dépassent jamais 80% de l’épargne investie sur le fonds en euros et 60% sur les supports en unités de compte.
Le taux d’intérêt appliqué est déterminé au début de chaque année civile pour l’année en cours. Il est au moins égal au rendement du fonds en euros de l’année précédente majoré d’un à deux points. Actuellement, comptez de 2,5 à 3,5%. Le coût réel à votre charge est lui plus faible puisqu’il correspond à la différence entre le coût du crédit et la rémunération de votre épargne.
Plus de conseils pratiques pour optimiser vos contrats d’assurance vie dans nos publications payantes.
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