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L’accès à des titres vifs dans un contrat d’assurance-vie constitue un atout crédit photo : Shutterstock

L’accès à des titres vifs dans un contrat d’assurance-vie constitue un atout crédit photo : Shutterstock

L’accès à des titres vifs dans un contrat d’assurance-vie constitue un atout crédit photo : Shutterstock
Sommaire:
Parallèlement aux fonds en euros et aux unités de compte , de plus en plus d’assureurs proposent désormais un accès à des titres vifs, c’est-à-dire des actions émises par des entreprises cotées sur les marchés boursiers.
Concrètement, les assurés peuvent acquérir des actions françaises, européennes, américaines, voire chinoises dans leur contrat d’assurance-vie. Cette possibilité n’est pas réellement nouvelle, mais elle était jusqu’ici réservée aux contrats très haut de gamme nécessitant un encours de plusieurs centaines de milliers d’euros. La démocratisation est aujourd’hui ainsi à l’œuvre.
D’ailleurs, le mouvement est bien plus large. Outre les contrats d’assurance-vie, les Plans d’Épargne Retraite (PER) et les Plans d’Épargne Entreprise (PEE) s’ouvrent également aux titres vifs. Dans l’intérêt des investisseurs et des salariés.
Pouvoir investir directement dans des actions au sein de l’assurance-vie ou des enveloppes d’épargne retraite et salariale est très avantageux et répond à la demande des particuliers. En effet, leur intérêt pour la Bourse ne cesse de progresser, comme le montrent les chiffres publiés début 2021 par l’Autorité des Marché Financiers (AMF).
Investir dans des titres vifs permet de réduire le poids des commissions. Quand vous détenez des unités de compte, c’est-à-dire des fonds investis dans les marchés financiers, le gestionnaire du fonds se rémunère en prélevant des frais parfois significatifs. Ces derniers viennent donc rogner la performance réelle des actions détenues dans le fonds. De ce point de vue, la détention directe sous forme de titres vifs est plus avantageuse. D’autant que certains contrats d’assurance-vie, PER ou PEE affichent des frais de courtage gratuits. Ainsi, vous pouvez acheter et vendre des actions à votre guise, sans que cela ne vous coûte.
Par ailleurs, l’accès à des titres vifs permet de se positionner sur des valeurs de rendement tout en profitant d’une fiscalité attractive. Dans un contrat d’assurance-vie, vous pouvez par exemple opérer des rachats partiels après huit ans de détention en bénéficiant chaque année d’un abattement de 4.600 euros (9.200 euros pour un couple) sur les gains. En somme, vous pouvez sortir jusqu’à 4.600 euros de dividendes par personne en ne payant que les prélèvements sociaux (17,2%) sur ce montant. Vous pouvez aussi choisir de laisser les dividendes perçus être automatiquement réinvestis dans un fonds en euros afin de les sécuriser.
Un autre atout des titres vifs est d’offrir une exposition à des actifs plus dynamiques et offensifs que les fonds en euros ou les unités de compte. Dès lors, ils constituent une option particulièrement intéressante pour les investisseurs les moins âgés, lesquels peuvent intégrer une dose de risque plus élevée dans leur épargne financière de long terme.
Bien qu’il soit possible de mettre des titres vifs, c’est-à-dire des actions en direct, dans son contrat d’assurance-vie, son PER ou son PEE, l’ utilité du PEA et du compte-titres n’en demeure pas moins bien réelle.
Tout d’abord, l’univers de placement des titres vifs est beaucoup plus restreint que celui proposé dans les PEA et comptes-titres. En effet, les actions disponibles à l’achat se limitent le plus souvent à celles composant un indice comme le CAC 40 ou l’Euro Stoxx 50. Il s’agit donc exclusivement de grandes capitalisations, de surcroît en nombre limité. A contrario, le PEA permet d’investir dans toutes les sociétés ayant leur siège dans l’Union Européenne ou dans un État de l’Espace Économique Européen (EEE), à savoir l’Islande, la Norvège et le Liechtenstein.
Ensuite, intervenir sur des titres vifs n’est pas aussi souple qu’acheter ou vendre des actions au sein d’un PEA ou d’un compte-titres. Le processus de transmission des ordres est plus complexe. Ainsi, les épargnants ne peuvent pas arbitrer une position en temps réel, ni même généralement du jour pour le lendemain. Cette inertie contraint à investir dans une optique plus longue.
Il n’est pas possible de verser plus de 150.000 euros sur un PEA. Dès lors, être en mesure de bénéficier d’un accès à des titres vifs dans une enveloppe “défiscalisante” comme l’assurance-vie constitue un plus si vous avez déjà atteint ce plafond.
Les unités de compte conservent bien évidemment leur intérêt, même si vous avez accès à des titres vifs. En réalité, ces deux types de placements sont complémentaires. Grâce aux unités de compte (et notamment aux trackers ) , vous pouvez facilement renforcer votre diversification. En effet, dans le cadre de vos investissements, il convient d’éviter une exposition trop importante à un même actif.
Par ailleurs, les unités de compte vous permettent d’investir dans une zone géographique, un secteur ou encore un thème particulier difficilement accessible par un autre biais. Si vous souhaitez investir dans le marché indien, les titres vifs du CAC 40 ne vous seront d’aucune aide.
Sur les cent dernières années, l’indice S&P 500 affiche un rendement annuel moyen de +10,2%. Cette performance provient, pour une première moitié, de la hausse des cours et, pour l’autre moitié, du versement des dividendes réinvestis chaque année. C’est l’effet boule de neige lié à la magie des intérêts cumulés. Sur les dix dernières années (2011-2021), le CAC 40 a progressé de +55%. Sa performance atteint +98% avec les dividendes réinvestis.
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