Erreur d'authentification
Votre compte a été clôturé.
Vous êtes authentifié. Nous chargeons votre espace membre.
Pour des raisons de sécurité et pour continuer à accéder à votre espace membre, nous vous remercions de bien vouloir valider votre compte membre en cliquant sur le lien suivant : Je valide mon compte membre
Vous allez recevoir un email à l’adresse indiquée lorsque vous aviez créé votre compte.
Cliquez ensuite sur le lien présent dans le mail. Vous pourrez alors de nouveau accéder à votre compte membre.
Si vous n’avez pas reçu cet email, contactez-nous
Un email de confirmation vient de vous être adressé.
8 caractères minimum
1 majuscule
1 minuscule
1 chiffre
1 caractère spécial
Différent de votre pseudo
Les deux mots de passe sont identiques
Bénéficiez gratuitement de fonctionnalités et de services additionnels. Devenez membre
Nouveau sur Boursorama ? Devenez membre
Réduire les frais, favoriser la concurrence: le Sénat à majorité de droite a voté mardi en première lecture une proposition de loi du parti Les Républicains pour “renforcer la protection des épargnants”, avec une disposition controversée sur la transférabilité des contrats d’assurance vie.
Le texte porté par le rapporteur général du Budget Jean-François Husson et son prédécesseur Albéric de Montgolfier entend notamment améliorer l’information des particuliers pour leur permettre, selon M. Husson, de “choisir les produits les plus rentables et les mieux adaptés à leurs besoins”.
M. de Montgolfier a défendu un “moyen de mieux protéger les Français dans un contexte de hausse des taux et de recherche de rendement, notamment en diminuant les frais”.
Parmi les dispositions qui ont fait débat, un article prévoit de “sécuriser les possibilités de transfert des contrats d’assurance vie au sein d’une même entreprise d’assurance”. Surtout, il ouvre également, au-delà de huit années de souscription, une possibilité de transfert “externe des contrats d’assurance vie entre entreprises d’assurance”.
“Au-delà du libre choix de l’assuré, l’objectif est de susciter une plus grande concurrence entre les produits disponibles sur le marché”, selon les auteurs du texte.
Bien qu’accueillant “très favorablement” la proposition, le ministre délégué Jean-Noël Barrot a fait part de la “divergence d’appréciation” du gouvernement sur la transférabilité externe.
Il a pointé “un risque significatif pour le stabilité financière”, estimant que “les épargnants seraient les premiers perdants”.
“La transférabilité externe est mauvaise pour les épargnants, elle est mauvaise pour l’économie française et surtout elle est injuste”, a-t-il insisté.
Le centriste Michel Canévet a lui au contraire jugé “impératif que l’on puisse avancer” sur cette mesure “légitime”.
Les sénateurs ont en revanche supprimé, en accord avec les auteurs du texte, un article qui prolongeait jusqu’en 2026 le bénéfice de l’incitation fiscale mise en place par la loi Pacte pour transférer les sommes investies dans un contrat d’assurance vie vers un plan d’épargne retraite (PER).
Le socialiste Rémi Féraud a estimé que ce n’était “pas du tout opportun” en “pleine manifestation contre la réforme des retraites”.
“Ce texte encourage quand même par défaut une retraite par capitalisation”, avait relevé Pascal Savoldelli (CRCE à majorité communiste).
L’écologiste Daniel Breuiller a quant à lui regretté d’avoir dû écourter sa présence à la manifestation sur les retraites pour assister aux débats dans l’hémicycle.
Les sénateurs ont en outre adopté des amendements d’Hervé Maurey (centriste) et Vanina Paoli-Gagin (Indépendants) encadrant les frais bancaires de succession.
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
L'Ebitda de Derichebourg en baisse au premier trimestre 2022-2023
Vodafone a souffert au troisième trimestre avec l'Allemagne et l'Espagne
Faut-il acheter l’action Tesla en Bourse ?
Succession : quel est le rôle du notaire et pour quel coût ?
Rente ou capital pour les assurances vie ?
Prix, programmes, biens disponibles : la vérité sur l’immobilier neuf à Paris
Copyright © 2023
Boursorama Banque, SA au capital de 51 171 597,60 € – RCS Nanterre 351 058 151 – TVA FR 69 351 058 151 – 44 rue Traversière, CS 80134, 92772 BOULOGNE BILLANCOURT CEDEX