Au nom du parent ou de l’enfant, quel contrat choisir pour l’avenir de sa progéniture ?

Investir dans une assurance-vie dès la naissance d’un enfant peut être une idée généreuse pour l’aider dans ses premiers projets, financer ses études ou pour simplement transmettre de son vivant. Les parents peuvent ouvrir un contrat en leur nom ou au nom de leur enfant. S’ils choisissent cette dernière option, ils peuvent mettre en place des garde-fous, afin que bébé devenu adulte ne dilapide pas le capital épargné. L’assurance-vie au nom de l’enfant n’a cependant pas que des avantages. Il convient donc de prendre des précautions et de respecter certaines règles.
Il n’est pas rare pour certains parents de commencer à constituer une épargne pour ses enfants dès leur plus jeune âge. En général, parents ou grands-parents se tournent vers les livrets réglementés, et notamment le livret A. Si le taux de ce dernier vient d’être revalorisé à 1 % au 1er février dernier en raison de la hausse de l’inflation, d’autres solutions existent et parmi elle, l’assurance-vie. Produit d’épargne souple, celle-ci permet de constituer un capital sur le long terme de manière progressive, avec des rendements plus intéressants qu’un livret réglementé si l’on choisit un contrat multi-supports. L’assurance-vie peut être alimentée par un versement unique, des versements réguliers ou ponctuels. Le capital reviendra à l’enfant à sa majorité, qui pourra l’utiliser pour financer ses études, acheter une voiture ou pour tout autre projet. “Nous préconisons d’ouvrir un contrat d’assurance-vie pour les enfants, car il s’agit d’un produit d’épargne longue par excellence, d’une grande souplesse dans l’allocation d’actifs, et où il n’existe pas de plafond sur les versements”, commente Odile Ezerzer, directrice de Macif Finance Épargne et directrice générale de Mutavie. Pour ce faire, il existe plusieurs manières : souscrire un contrat au nom des parents, ou directement au nom de l’enfant.
La forme […]
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