Actualités Placements
EVENEMENTS
Comparateur de livrets
Actualités Immobilier
Actualités Bourse
CONSEILS
AGENDA
Comparateur de courtiers
Actualités Impôts & Droits
Actualités Finances privées
Le Revenu TV
Pédagogie
Rendement 2013 du fond en euros
Trophée d'Or du Revenu Trophée d’Or du Revenu
Trophée d'Argent du Revenu Trophée d’Argent du Revenu
Trophée de Bronze du Revenu Trophée de Bronze du Revenu
Abonnés, accédez à vos publications numériques

Par
Publié le 21/03/2021 à 07:06 – Mis à jour le 21/03/2021 à 07:06
Rédaction des clauses bénéficiaires : la plupart du temps, le rédacteur ou la rédactrice de la clause bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie et, plus encore, d’un contrat d’assurance-décès, ne s’embarrasse pas de complications.
Publié le 13/03/2021
Donations : comment transmettre à ses enfants sans impôts ?
Publié le 21/04/2019
Assurance vie : le nom du bénéficiaire est facilement modifiable
Publié le 12/11/2018
Transmission : l’assurance vie peut être plus favorable après 70 ans !
Il ou elle adopte, sans y réfléchir plus avant, le texte standard proposé par la compagnie d’assurance qui dit à peu près ceci : mon conjoint, à défaut mes enfants par parts égales, à défaut mes héritiers.
Or, l’assurance-vie et l’assurance-décès – notamment lorsque celle-ci fait partie du régime de prévoyance d’une entreprise – sont des instruments capitaux de la gestion patrimoniale. Encore faut-il qu’ils soient utilisés à bon escient et en usant des possibilités, considérables, qu’ils offrent.
La rédaction des clauses bénéficiaires doit donc être pensée en fonction des objectifs et des contraintes de l’assuré. Tout particulièrement de ses souhaits quant à la répartition des sommes versées par la compagnie entre les différents ayants droit.
On oublie trop souvent qu’une clause bénéficiaire peut faire l’objet d’un démembrement. Le plus simple et le plus classique étant de nommer son conjoint ou son partenaire de PACS, bénéficiaire en usufruit et ses enfants bénéficiaires en nue-propriété. Mais d’autres formules sont envisageables comme, par exemple, de substituer un terme fixe au terme viager.
De plus, rien n’interdit de fractionner la clause bénéficiaire en plusieurs sous-clauses différentes. Moins classique mais très puissante, l’inclusion de la possibilité donnée au ou à la bénéficiaire en usufruit de déclarer un quasi-usufruit et ainsi, à l’extrême, de pouvoir consommer la totalité du versement reçu de l’assureur.
L’assuré peut également, dans le cas de l’assurance-vie comme dans celui de l’assurance-décès, prévoir que le ou la bénéficiaire pourra prélever, sur la somme lui revenant, le montant qu’il voudra. Le reste, le montant auquel il ou elle aura renoncé, revenant aux bénéficiaires de second rang.

En pratique, il s’agit pour le souscripteur de laisser à son conjoint le soin de décider ce qui doit revenir à ses enfants ou à des tiers selon les circonstances de sa disparition.
Certes, la période du deuil n’est pas le meilleur moment pour prendre des décisions financières et patrimoniales délicates mais la disposition peut s’avérer utile. De fait, on peut «jouer» avec une clause bénéficiaire comme avec un testament.
Notre opinion : Il faut aussi souligner que, comme pour les donations, les clauses bénéficiaires sont l’occasion d’y introduire des «charges». Ce qu’une succession ne permet pas, s’agissant de la part réservataire.
Par exemple que les bénéficiaires ne pourront pas «toucher» au capital avant un certain âge ou qu’ils devront investir la somme reçue dans un bien immobilier, ou encore que la somme reçue ou ses avatars ne pourra être mise en communauté.
Enfin, on ne peut que recommander de faire tenir la clause dans un testament déposé chez un notaire et rappeler qu’un testament peut être modifié aussi fréquemment que le testateur le souhaite.
Se connecter
Assurance vie en euros : pourquoi les meilleurs contrats vont rapporter 2% et plus en 2022

Par
Retraite mutualiste du combattant : en quoi consiste ce généreux dispositif réservé aux militaires ?

Par
Assurance vie : enfin plus de transparence sur les frais des contrats

Par
Quelle est l’obligation légale de subvenir aux besoins des enfants

Par
Les avantages du statut de conjoint collaborateur

Par
Dation en paiement : est-il intéressant de payer vos impôts en nature ?

Par
Le plan d’épargne retraite (PER) fête ses trois ans : faut-il souscrire ?
Denis Lehman : «Il est trop tard pour vendre les actions»
PER : la Bourse avec réduction d’impôt ?
Meilleurs PER 2022 : les 6 Trophées d’Or attribués par Le Revenu aux courtiers Internet

Par
Bureau Veritas : acquisitions régulières

Par
Épargnez 150 euros par mois et devenez millionnaire !

Par
Web conférence Le Conservateur - Le Revenu
Le directeur de la gestion d’actifs de Swiss Life AM a répondu aux questions du Revenu TV. Selon l’expert, les…
Avec 3,4 millions de souscripteurs et 42,9 milliards d’euros d’encours (chiffres France Assureurs), le PER rencontre son…
Le plan d’épargne retraite (PER) permet d’investir en actions tout en profitant d’avantages fiscaux. Les conditions à…
Gérez vos placements vous-même, préférez les nouveaux acteurs spécialisés 100% en ligne aux banques…
10700 euros : c’est le prix moyen du mètre carré dans l’ancien à Paris
Abonnez vous au Revenu pour 8.90 euros par mois
Le 01/09/2022 à 15:35
Que pensez vous du titre GROUPE LDLC EURONEXT , faut il selon conserver ce titre, racheter,…
Le 01/09/2022 à 15:33
bonjour monsieur , pour TFF vous aviez écrit un article très positif n 1671 p 11 , cette…
Agenda financier des entreprises cotées
Retrouvez le calendrier boursier 2021

source

Catégorisé: