Comment réagir en cas de récession économique ? Car oui, 2023 sera très probablement une année de récession, après que l’année 2022 ait été marquée par l’inflation et la guerre en Ukraine.
Dans cet article, nous ferons le point sur le contexte économique en France. Nous analyserons également les précédentes grandes récessions mondiales. Pour finir, nous vous donnerons nos conseils pour gérer son argent en temps de récession et nous vous présenterons les idées d’investissements pour se prémunir de la récession qui pourrait venir cette année.



Le mot « récession » est sur quasiment toutes les lèvres depuis le mois de novembre 2022. Cependant, même si tout le monde sait qu’il s’agit d’un évènement négatif pour l’économie, il s’avère que tous ne comprennent pas exactement de quoi il s’agit. Commençons donc par prendre le temps de détailler ce qu’est une récession économique.
Une situation de récession technique est caractérisée par deux trimestres consécutifs marqués par un ralentissement significatif du PIB (Produit Intérieur Brut). Une récession réelle de l’économie correspond à une année complète de croissance négative du PIB.
Lors de ces périodes, presque tous les agents économiques sont au ralenti : l’emploi, l’industrie, le commerce, etc. En toute logique, la consommation en pâtit également.
La récession ne doit pas être confondu avec de la décroissance, même si les deux peuvent être très similaires dans certains cas. Alors que la récession est un phénomène de contraction économique imprévue et involontaire, la décroissance quant à elle fait référence à un évènement de ralentissement économique planifié et maîtrisé. La récession touche en générale une économie dans son ensemble, alors que la décroissance peut n’être limité qu’à certains secteurs choisis.
Tous les facteurs économiques doivent être bien équilibrés pour que l’économie d’un pays fonctionne correctement. Les récessions sont provoquées par un déséquilibre de ces facteurs. Avant une récession, c’est souvent un krach, ou un évènement géopolitique fort (guerre), qui est à l’origine du cercle vicieux qui amène l’économie dans une zone de croissance négative.
Parmi les facteurs le plus souvent à l’origine d’une période de récession, on retrouve :
Quand un ou plusieurs de ces facteurs est en déséquilibre par rapport au reste de l’économie, alors un risque de récession apparaît.
Quand une récession dure plusieurs années, on parle alors d’une dépression économique. Le terme dépression est souvent associé à la grande dépression des années 1930.
Ce qui caractérise donc une dépression économique, c’est le fait qu’une récession soit importante et dure dans le temps.
À l’inverse, quand il ne s’agit que d’un faible recul de la croissance du PIB sur une période courte, on emploie davantage le terme de ralentissement économique, plutôt que celui de récession.
Bien que personne ne puisse prédire ce qu’il va se passer au cours de l’année 2023 avec certitude, de nombreux signaux nous indiquent qu’il y a de fortes probabilités que les grandes économies occidentales connaissent une récession économique en 2023.
En effet, si l’on reprend les causes qui peuvent provoquer une récession, on retrouve l’inflation excessivement haute sur une longue période et la hausse des prix de l’énergie. Les deux phénomènes ont été observés en 2022 de façon disproportionnée, et semblent ne pas s’affaiblir en ce début d’année 2023.
En addition, des éléments plus techniques comme l’inversion de la courbe des taux à long terme et des taux à court terme sont des indicateurs forts permettant de prédire une récession imminente.
Bien que plus rare dans la sphère économique, certains analystes estiment que la France pourrait éviter la récession de justesse. C’est le cas de la Banque de France qui anticipe une hausse du PIB de 0,3 % pour 2023. Néanmoins, tout le monde s’accorde à dire que l’année 2023 ne connaîtra pas un niveau de croissance tel qu’habituellement observé, et que la croissance sera en net recul par rapport aux années précédentes.



Alors que l’INSEE prévoit encore un pic de l’inflation à 7 % au début de l’année 2023, la plupart des économistes prévoient surtout une récession pour les mois à venir, conséquence de la forte inflation de 2022 et de la guerre en Ukraine. En effet, entre les inquiétudes liées à la guerre en Ukraine, à l’inflation et surtout à la crise énergétique, il y a de fortes chances que nous ne puissions pas échapper en 2023 à un ralentissement de la croissance.
Selon la directrice du FMI, la France n’est pas un cas isolé car toute l’Europe, les USA et la Chine sont confrontés au même risque de récession.
En ce qui concerne la France, l’INSEE prévoit une croissance de 0,1 % du PIB au premier trimestre, puis une hausse de 0,3 % au deuxième trimestre de 2023, tout cela étant cependant sous condition de l’évolution de la guerre en Ukraine, d’une bonne maîtrise des prix de l’énergie et sans compter de possible mouvements sociaux qui pourraient aggraver la situation.
Jusqu’à présent et contrairement à ce qui a été observé aux USA, l’hiver a été plutôt doux en France et le coût de l’énergie n’a impacté que les artisans et les PME. Les prévisions les plus optimistes pourraient donc être revues à la baisse, sur la seule base d’un changement des conditions météorologiques.
Pour conclure notre synthèse sur la situation économique en France, il faudra suivre de près les niveaux d’endettement des entreprises et des ménages. En effet, de nombreuses petites entreprises sont prises à la gorge en raison des augmentations des prix de l’énergie. Une hausse de l’endettement des entreprises pourrait être un facteurs supplémentaire confirmant les prévisions d’entrée de l’économie française en récession.
Indicateur de la production industrielle mondiale depuis 1919 (les zones grises représentent les périodes de récessions)
Indicateur de la production industrielle mondiale depuis 1919
Source : Macrotrends.net
Durant le siècle passé, le monde a connu 17 phases de récessions économiques, la plus longue ayant été celle de 1929 qui a duré environ 3 ans. La valeur du Dow Jones fut divisée par 10 durant cette période dite de « grande dépression » combinée à une grave crise bancaire ayant engendré la faillite de presque 800 banques américaines.
Cette période difficile a été précédée par une phase de très forte croissance lors de la décennie des années 1920. Une croissance peut-être surestimée ?
La crise de 1929 a également engendré une puissante déflation (baisse généralisée des prix) couplée à une explosion du chômage atteignant presque 10 % aux États-Unis en 1930. C’est le « New Deal » de Franklin Roosevelt, signé en 1933, qui a permis de sortir de ce marasme économique.
Douze phases de récessions sont survenues entre 1933 et 2008, notamment celle de 2000, liée à l’éclatement de la bulle Internet spéculative des sociétés Dotcom.
L’essor du web dans les foyers a catalysé des milliers de créations de sociétés du secteur web créant une spéculation boursière devenue aberrante. Durant cette période, un investisseur moyen, avec un capital modéré, pouvait facilement empocher 1 500 € (10 000 francs) par jour lors du pic de la bulle.
Les valorisations étaient devenues incohérentes avec les réalités économiques de ces sociétés Internet dites Dot-com. Lorsque les marchés financiers s’en sont rendu compte, cela a entraîné une chute majeure du secteur, et seules les sociétés les plus solides ont survécu (c’est notamment le cas d’Amazon).
Entre mars 2000 (pic de la bulle spéculative) et début octobre 2002, le Nasdaq a été divisé par 4.
Huit ans plus tard, en 2008, le monde a connu une nouvelle récession marquée par la crise financière des subprimes. Le feu aux poudres a été déclenché par la faillite de la banque américaine Lehman Brothers, très exposée aux subprimes.
Les subprimes étaient des emprunts hypothécaires risqués aux États-Unis devenus difficilement remboursables par les ménages américains, en raison de la hausse des taux d’intérêt intervenue dès 2005.
En France, ces types d’emprunts sont assimilables aux taux variables mais ils sont très rares car la grande majorité des emprunts immobiliers sont réalisés à taux fixe.
Malheureusement, de nombreux américains se sont vus expropriés de leurs biens immobiliers ensuite vendus « aux enchères ». Lehman Brothers ne fut d’ailleurs pas le seul établissement bancaire à faire faillite. Ceux qui étaient les plus exposés aux subprimes n’y ont pas dérogé.
La FED (Réserve Fédérale Américaine) ainsi que le gouvernement américain n’ont pas décidé de « sauver » Lehman Brothers, et ce fut en quelque sorte « un mal pour un bien » car cela a permis d’assainir le système bancaire américain.
Pour preuve que la faillite de certaines banques peut potentiellement être avantageuse lors des crises, même si douloureuses : douze ans plus tard, les grandes banques américaines présentent de meilleurs ratios de solidité de leurs fonds propres que les grandes banques européennes.



Les scénarios « noirs » de récession économique ne sont pas non plus synonymes d’une « fin du monde », car les périodes de récession ou de dépression sont généralement suivies de périodes de forte croissance économique.
Il y a cependant quelques mesures à prendre si l’on souhaite traverser une période de récession sans trop de tracas.
Disons-le, en période de récession, il y a des entreprises qui vont survivre et d’autres qui feront faillite. C’est aussi le cas pour les banques, les courtiers et les compagnies d’assurance. Il sera donc important de garder ses fonds à l’abri.
Plusieurs mesures peuvent donc être prise pour se protéger :
Il convient d’imaginer le scénario du pire dans les choix que vous allez faire pour préserver votre argent. Bien sûr, le pire scénario ne se produira peut-être jamais, mais de cette manière, vous ne serez pas pris au dépourvu avec un événement inattendu.
On le dit souvent, il ne faut pas investir en Bourse de l’argent dont vous avez besoin pour vivre. Or, pour surmonter la période de récession, vous aurez peut-être besoin de plus d’argent que ce qui serait nécessaire en temps normal.
Des imprévus comme la perte d’un emploi ou des augmentations des prix pourraient impacter votre quotidien. Afin de ne pas être obligé de vendre vos actions ou ETF au pire moment pour faire face à ces imprévus, il convient de prévoir un fonds d’urgence que vous pourrez utiliser pour surmonter la crise.
Si vous disposez de revenus locatifs, ils pourraient baisser ou disparaître, et il faudra le prévoir. Être dans l’obligation de vendre votre investissement immobilier au pire moment pourrait entraîner des conséquences néfastes pour vos finances.
Généralement, il est recommandé d’avoir un fonds d’urgence qui vous permettra de subvenir à vos dépenses courantes pendant une période de 3 à 6 mois.
La crise peut représenter des opportunités sur les marchés boursiers. Il serait dommage de ne pas en profiter simplement car toutes vos liquidités sont déjà placées.
Gardez, en cash, sur votre compte bourse 10 à 20 % de votre capital habituellement réservé aux investissements afin de pouvoir immédiatement saisir les opportunités qui se présenteront.
Les grands investisseurs comme Warren Buffett ont profité des grandes crises pour considérablement augmenter leur fortune.
Beaucoup d’investisseurs se demandent s’il faut conserver ses investissements alors qu’une période de récession est annoncée. Il faudra surtout repenser votre stratégie d’investissement.
Il n’y a pas de raison de solder vos placements proposant un capital garanti et/ou un taux garanti.
En ce qui concerne les fonds d’investissement, il serait judicieux de s’informer sur la façon dont le gérant prévoit de surmonter la période de récession, quelle sera sa stratégie.
En ce qui concerne vos investissements en action, il sera peut-être nécessaire de revoir l’allocation de votre portefeuille. Il est généralement conseillé de laisser de côté les entreprises de croissance pour se focaliser sur les valeurs défensives et notamment le secteur de la consommation défensive.
Un contexte de récession ne signifie pas que toutes les entreprises et sociétés sont en danger. Même si la plupart connaissent des pertes de chiffre d’affaires, elles peuvent tout à fait continuer à être rentables et donc réaliser des bénéfices. D’ailleurs, l’exemple de la crise/récession de 2008 à la suite de la crise financière des subprimes en est un bon exemple, car une grande partie des sociétés ont réalisé des profits et même versé des dividendes malgré un contexte de crise économique, financière et boursière.
Les dettes peuvent devenir un handicap très important quand la situation tourne au vinaigre. Si vous disposez des fonds pour rembourser vos dettes, n’hésitez pas !
Le meilleur placement en période de crise, c’est de ne pas avoir de dette qui viendrait compliquer une situation déjà difficile. Si vos sources de revenus peuvent être amenées à se réduire, vous devez anticiper et réduire vos dépenses.
La diversification de vos investissements est indispensable en période de récession. S’il est toujours judicieux de diversifier ses investissements, il devient primordial de le faire quand une crise est annoncée.
Il faudra notamment penser à une diversification géographique.



L’immobilier est le placement préféré des Français, et les décennies passées leur donnent raison puisque l’immobilier a conservé et augmenté sa valeur dans le temps.
Évolution annuelle de l’immobilier à Paris et en France depuis les années 1900
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Les courbes d’évolution des prix de l’immobilier à Paris (courbe rouge) et en France (courbe bleue) présentent une forte croissance sur le très long terme.
L’immobilier permet de « dormir tranquille » car il est soumis à moins de volatilité que certains actifs, comme les actions par exemple.
Remarque : l’investissement sur les grands indices boursiers présente, en moyenne, sur les dernières décennies, un meilleur retour sur investissement par rapport à l’immobilier. Mais celui-ci présente une volatilité plus élevée.
Attention cependant à l’immobilier locatif et l’endettement bancaire. La hausse des taux pourrait vous mettre dans une situation délicate, et la perte du revenu locatif est envisageable.
En période de récession, voire de dépression économique, le meilleur investissement immobilier est l’achat de sa résidence principale.
L’or est un placement intéressant pour sécuriser son épargne et l’évolution très long terme du cours de l’or parle d’elle-même.
Évolution du prix de l’once d’or depuis 1915
Évolution du prix de l’once d’or depuis 1915
Source du graphique : macrotrends.net
Entre 1970 et 2020, l’once d’or a connu une forte croissance de sa valeur car elle a été multipliée par 46 sur cette période. Elle est donc passée de 36$ en 1970 à 1 663$ l’once actuellement. Néanmoins, sa croissance est plus limitée en base corrigée d’inflation (X 6,65 entre 1970 et 2020).
Contrairement à des investissements en actions de sociétés, l’or n’offre pas de rendement (dividende) mais présente l’avantage de conserver sa valeur sur le très long terme.
Cette situation devrait se poursuivre à l’avenir, notamment du fait de la raréfaction progressive de l’or. En effet, les réserves naturelles restantes à extraire de ce métal précieux sont de l’ordre de 15 à 16 ans d’exploitation au rythme actuel.
En outre, ce type de placement doit être considéré avec une vision long terme, voire très long terme, car l’or peut potentiellement mettre du temps à s’apprécier. La période 1980-2007 le prouve : un investisseur ayant acheté de l’or en 1980 aurait dû patienter 27 ans avant de retrouver sa valeur initiale. Néanmoins, il est peu probable qu’une période aussi longue sans croissance de l’or se reproduise du fait de sa pénurie d’ici 2036.
Les phases de récession économique s’accompagnent quasi systématiquement de phases de crises boursières. Lors de ces situations où les actifs financiers sont souvent « au tapis », il peut être intéressant de s’intéresser aux actions de sociétés de qualité avec, de préférence, une longue histoire.
En effet, une société qui possède plusieurs décennies d’existence, voire centenaires pour certaines, ont indéniablement traversé de nombreuses crises de différentes natures et y ont survécu.
Les chutes de valorisations des actions induites par les phases de récessions peuvent donc devenir des aubaines pour les investisseurs, à condition de privilégier les modèles de qualité, dont voici quelques critères clés :
Si la récession est sévère, il est également possible de faire preuve d’une petite marge de tolérance car les résultats financiers peuvent être impactés. S’ils restent modérés et qu’en contrepartie la valorisation boursière est en chute libre du fait d’un krach boursier, il peut alors être intéressant de prendre position « à prix cassé » dans l’optique d’investir en Bourse à long terme.
Privilégiez les sociétés qui ont une longue histoire (et qui ont donc survécu à de nombreuses crises), respectant les critères suscités, de tailles conséquentes, et de préférence des leaders de leurs secteurs.
À la différence des banques ou des compagnies d’assurance disposant principalement d’actifs financiers, par nature, une société commerciale ou industrielle, dispose d’actifs physiques de production tels que des usines, des machines industrielles, des stocks, des centrales, des terrains, etc. Même dans le cadre de crises majeures de nature financière, bancaire, monétaire, sanitaire ou d’autres types, les actifs physiques restent bien réels et les besoins des populations restent également présents (s’alimenter, se loger, se déplacer, etc.).
Il est néanmoins nécessaire de prendre conscience que lors des phases de récession, la volatilité sur les actions peut être majeure. Même une société centenaire et viable économiquement peut voir son cours de Bourse fortement baisser lors des crises/récessions. Il faut donc « avoir les nerfs solides » et considérer le fait que dans toutes les crises de l’Histoire, des phases de reprises/croissance de l’économie et parallèlement de hausse du cours de Bourse des actions, ont suivi.
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Marc Raffard |
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Marc Raffard est un expert des marchés financiers, il a travaillé pour de nombreux courtiers et émetteur de produits structurés. Tout au long de sa carrière dans le secteur financier, il a contribué à la démocratisation de pratiques équitables et transparentes. Aujourd’hui, Marc est engagé dans la promotion de l’investissement socialement responsable avec son blog Scout en Bourse. Expert des ETF et des ETP à levier, il aide les lecteurs de Café de la Bourse et Café du Trading à mieux comprendre le fonctionnement de ces produits et la façon dont ils peuvent être utilisés dans des stratégies d’investissement ou de trading.
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