Investir dans un OPCVM peut paraître compliqué et susciter de nombreuses interrogations : que sont les OPC, OPCVM, Sicav et FCP ? Comment choisir les OPC dans lesquels investir ? Quels critères appliquer ? Comment les acquérir ? Comment sont gérés les Sicav ou FCP ? À quel moment sortir de l’OPCVM ? Café de la Bourse aborde tous ces thèmes liés à l’investissement dans un fonds dans cet article et sa vidéo.
Vous pouvez acheter des OPCVM via un compte titres ou via les enveloppes « défiscalisantes » que sont le PEA, l’assurance vie et le PER.
Les OPC ou Organismes de Placements Collectifs regroupent les organismes de placement collectifs investis en valeurs mobilières (OPCVM) et en actifs immobiliers (OPCI).
Nous nous limiterons dans cet article à un type de fonds en particulier : les Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (OPCVM). Ce sont des fonds d’investissement dits « coordonnés ». Cela signifie qu’ils sont soumis à des règles d’investissement harmonisées au niveau européen (selon le règlement de la directive Européenne UCITS).
Les OPCVM constituent une catégorie de produits financiers qui regroupe les SICAV (Sociétés d’Investissement à Capital Variable) et les FCP (Fonds Communs de Placement).
Les Sicav et FCP s’adressent aux personnes qui ne souhaitent pas elles-mêmes investir en Bourse, n’ayant pas envie de devoir choisir entre telle ou telle action, ne sachant pas quand acheter et quand vendre… De fait, en achetant des parts d’un OPCVM, la gestion est déléguée à un professionnel de la gestion d’actifs. Le principal avantage des Sicav et FCP réside dans le fait qu’ils permettent de diversifier ses placements avec un montant faible et de laisser la responsabilité à un gérant (idéalement de talent !) d’élaborer et d’exécuter des stratégies d’investissement visant à profiter des meilleures opportunités qu’offrent les marchés financiers.
Comme tout type d’investissement, le choix d’une Sicav ou d’un FCP doit reposer sur trois éléments majeurs : vos objectifs de rendement, votre profil de risque et votre horizon de placement.
Quand il s’agit d’investir par l’acquisition d’un OPCVM, l’opération est le plus souvent désignée comme étant « une souscription à un OPCVM » ou encore « un achat de part(s) d’OPCVM ».
Pour acheter une ou plusieurs part(s) d’un OPCVM, un investisseur particulier peut s’adresser à sa banque pour faire une demande de souscription. Votre banque transmettra alors un ordre d’achat à la société de gestion administrant l’OPCVM.
Une demande de souscription peut aussi être traitée par une banque traditionnelle, une banque en ligne, un courtier en ligne, un cabinet de gestion de patrimoine ou encore par un conseiller en investissement financiers (CIF).
Dans le cadre d’un investissement sur OPCVM via un compte PEA, et puisque ce n’est pas forcément le cas, il faut préalablement s’assurer que l’OPCVM que vous avez choisi est éligible au PEA. Idem pour une souscription par le biais d’un contrat d’assurance-vie ou d’un PER, tous les OPCVM n’y sont pas systématiquement référencés (bien qu’il n’y ait pas de critères d’éligibilité comme avec le PEA).
Chaque OPCVM dispose d’un numéro d’identification appelé « code ISIN ». Afin d’éviter les erreurs lors de la souscription, il est conseillé de fournir le code ISIN à l’intermédiaire financier en charge de transmettre votre ordre d’achat.
Il est vivement recommandé de lire attentivement le DICI (document d’information clé pour l’investisseur) qui résume les caractéristiques du fonds, notamment en matière de risques, d’objectifs et de frais.
Avant de souscrire à un OPCVM, il est important de consulter les conditions de rachat et de bien comprendre dans quoi votre épargne sera investie.
Bien que vous puissiez récupérer votre argent à tout moment avec un OPCVM, il est préférable de prendre connaissance de la durée d’investissement recommandée par le gérant afin de planifier la période pendant laquelle il ne faudra pas avoir besoin de la somme investie. Récupérer l’argent placée plus tôt que la durée recommandée peut engendrer des pertes, même si le fonds délivre un beau rendement depuis plusieurs années.
En dehors du cas des enveloppes fiscales (PEA, Assurance-vie) et puisque ce sont des valeurs mobilières, les OPCVM sont soumis aux mêmes dispositions fiscales que les actions, à savoir le choix entre une taxation au barème de l’impôt sur le revenu (tranche marginale d’imposition + prélèvements sociaux de 17.2%) ou une taxation au prélèvement forfaitaire unique de 30 %.
La règle universelle que chaque investisseur doit connaître, selon laquelle un investissement en Bourse n’est jamais sans risque, s’applique aussi aux OPCVM. Notez que ce risque est en principe proportionnel aux objectifs de rendement.
Nous allons maintenant vous détailler les différents type d’OPCVM, en allant du moins risqué au plus risqué.
Avec un OPCVM monétaire, votre épargne peut être investie dans des produits financiers à taux fixe comme les bons du Trésor d’un État, des certificats de dépôt bancaires, des billets de trésorerie d’entreprises, des obligations à courtes échéances. Un fonds monétaire est moins exposé aux variations des taux sur les marchés financiers.
Les OPCVM monétaires sont considérés comme des placements stables avec un faible risque de perte en capital, notamment en raison de l’horizon de temps court terme des investissements réalisés par les gérants de ce type d’OPCVM (max. 2 ans, parfois 2 ou 3 mois seulement). De plus, il s’agit de dettes souscrites auprès de créanciers ayant un très faible risque d’insolvabilité, autrement dit affichant une excellente notation de dette (« credit rating » en anglais), par exemple une note « P-1 » (Moody’s) ou une note « A-1+ » (Standard & Poor’s).
La contrepartie au faible risque de ce type d’OPCVM, c’est que le rendement est souvent faible lui aussi, et d’autant plus quand les taux d’intérêts directeurs sont bas, comme ce fut le cas ces dernières années.
Les OPCVM monétaires sont souvent utilisés comme placement alternatif par les investisseurs qui ont atteint le plafond de leur livret épargne.
Veuillez noter que ce type d’OPCVM n’est pas éligible au PEA.
Anciennement connu sous la dénomination de « fonds à promesse », les OPCVM à formule sont plus proches d’un produit financier structuré que d’un fonds d’investissement ordinaire.
La particularité d’un OPCVM à formule est la « promesse » qui est faite à l’investisseur au moment de la souscription, ainsi que l’engagement de durée (6 ou 8 ans) que l’investisseur doit respecter pour que la « promesse » puisse être tenue.
Il y a trois grandes catégories d’OPCVM à formules qui se différencient par la nature de la « promesse ».
OPCVM à capital garanti
L’investisseur a la garantie de récupérer au minimum les sommes initialement investies à la date d’échéance du fonds.
OPCVM à capital non garanti
Il n’y a aucune garantie pour l’investisseur de récupérer son investissement. Une perte de capital est possible.
Fonds à capital protégé
Bien que le capital investi ne soit pas garanti à 100 %, il est protégé ; et l’investisseur à l’assurance de récupérer 80 ou 90 % des sommes initialement versées.
Les OPCVM à formules sont des produits « hybrides » qui sont investis dans deux classes d’actifs :
Exemple d’OPCVM à formule
Pour un montant de 100 000 euros placé dans un OPCVM à formule type « capital garanti » d’une durée de 8 ans :
Au bout de 8 ans, les 75 000 euros investis en obligations seront devenus 100 000 euros, soit la somme initialement investie.
Dans un scénario positif et en prenant le rendement moyen du CAC 40 sur les 30 dernières années, les 25 000 euros investis sur l’indice français seront devenus 41 000 euros, soit un total de 141 000 euros = rendement de +41 % avec le capital garanti.
Dans un scénario catastrophe et supposant que le CAC 40 ait perdu 80 % de sa valeur, les 25 000 euros investis sur l’indice français seront devenus 5 000 euros, soit un total de 105 000 euros = rendement de + 5 % avec le capital garanti.
Attention, bien qu’il soit possible de récupérer son argent investi avant la date d’échéance, une telle opération annulerait la « promesse » et pourrait engendrer une perte. De plus, d’importants frais de retraits sont presque toujours applicables (généralement de l’ordre de 4 % ou 5 %).
Assez proche de l’OPCVM monétaire puisqu’il est également investi dans des produits de dette (obligations), les fonds obligataires sont cependant différents sur plusieurs points.
Alors qu’un OPCVM monétaire ne peut sélectionner que des dettes à échéance court terme avec un faible risque, le gérant d’un OPCVM obligataire va pouvoir chercher à obtenir un meilleur rendement, soit en sélectionnant des produits de dette avec une échéance à plus long terme, soit en prêtant à des États ou des entreprises dont le risque de défaut est plus important.
Une autre différence existe entre un OPCVM monétaire et un OPCVM obligataire : bien qu’étant tous les deux investis dans des produits de dette, le risque ne sera pas le même en raison du mode de gestion du fonds.
Rappel concernant les obligations
Quand une obligation est achetée lors de son émission (marché primaire) et si elle est conservée jusqu’à la date d’échéance (soit la date de remboursement) le seul risque encouru par l’acquéreur du titre obligataire est le risque de faillite de l’entreprise émettrice (ou l’État émetteur) durant la durée de vie de l’obligation.
Or, dans le cadre de la gestion d’un fonds obligataire, le gérant va généralement appliquer une gestion active consistant à acheter des obligations après l’émission et/ou les vendre avant l’échéance, sur le marché secondaire ; afin de réaliser des profits sur le prix auquel s’échange le titre obligataire et pas seulement via le versement des intérêts (coupons). Ce mode de gestion implique un risque en cas de variations de taux.
Les OPCVM obligataires offrent donc un meilleur rendement que les OPCVM monétaires, mais associés à un risque plus important lui aussi. Attention donc aux changements de taux quand on choisit d’investir dans ce type d’OPCVM.
Ce type d’OPCVM n’est pas éligible au PEA.
Un OPCVM actions doit afficher une exposition minimum de 60 % sur des actions. Bien entendu, il est possible que ce type d’OPCVM soit totalement et uniquement investi dans des actions.
Il existe plus de 100 catégories différentes d’OPCVM actions, comme ceux qui offrent une exposition :
Les marchés actions sont connus pour offrir la meilleure rentabilité à long terme. Par exemple, la performance annuelle moyenne du CAC 40 au cours des 5 dernières années est d’environ +12 %.
Cependant, les OPCVM actions sont plus risqués que les autres types d’OPCVM que nous avons vu jusqu’à présent.
Attention également aux risques qui pourraient découler de mauvaises décisions d’investissement du gérant.
Il est recommandé de garder ce type d’OPCVM pour une durée minimum de 5 ans. Une durée d’investissement plus longue sur ce type de fonds va réduire le risque de perte.
Ce type d’OPCVM peut être éligible au PEA, s’il est investi au moins à 75 % dans des actions éligibles au PEA.
Les OPCVM alternatifs sont des fonds appliquant des méthodes et des stratégies alternatives pour la gestion d’un portefeuille d’actifs. La gestion alternative est souvent caractérisée comme étant un type de gestion décorrélé de la variation des indices boursiers.
Il peut s’agir de différentes stratégies, comme par exemple :
La stratégie long short
Cette stratégie consiste à construire un portefeuille investi à la hausse sur des valeurs qui semblent particulièrement solides, et à la baisse sur des valeurs qui paraissent, au contraire, fragiles. Avec une stratégie « Long Short », un gérant peut réaliser des bénéfices sur les différences de performances entre deux actifs, alors même que les marchés sont en baisses.
La stratégie global macro
Cette stratégie consiste à analyser et anticiper les tendances macroéconomiques futures pour sélectionner des actifs qui devraient bénéficier le plus du contexte économique présent.
Il existe aussi des OPCVM de fonds alternatifs investissant dans d’autres fonds (min. 10 %). Il s’agit donc de fonds de fonds.
Contrairement aux ETF, les OPCVM ne sont pas cotés en continu sur une place boursière. En règle générale, une seule valorisation du fonds est faite chaque jour ; c’est à ce moment qu’il sera possible d’acheter ou vendre une part de l’OPC. Il n’est donc pas possible d’acheter ou vendre une part d’OPCVM en urgence en milieu de journée.
Les OPCVM ne peuvent être investis que dans des actifs qui sont éligibles.
Le gérant d’un OPCVM ne pourra pas non plus vendre un titre à découvert, bien qu’il puisse quand même se postionner sur la baisse des marchés avec des ETF Short (par exemple).
De plus, le gérant doit respecter la politique de gestion précisée dans le prospectus du fonds. Par exemple, un gestionnaire peut être contraint de n’investir que dans un secteur ou sur une seule zone géographique. Dans certains cas, il peut également être dans l’impossibilité de solder une position ou d’entrer sur une nouvelle valeur.
L’une des contraintes d’un investissement avec un OPCVM sont les frais qui peuvent parfois être importants (frais d’entrée, frais de gestion, frais de surperformance…), lesquels obligent bien souvent à garder la part du fonds pendant longtemps pour amortir ces coûts.
Il faut aussi savoir que quand vous achetez une part d’OPCVM, ce sera à un cours inconnu (valeur liquidative du lendemain pour les fonds quotidien). Pour certains OPCVM alternatifs, les délais de sortie peuvent être beaucoup plus longs (1 à 6 mois).
Quel que soit le type d’OPC pour lequel vous optez, il existe de nombreux critères à prendre en compte au moment de choisir un fonds dans lequel investir.
Sous la forme d’une notation par étoiles, l’analyse quantitative de Morningstar par exemple permet d’identifier, dans une catégorie donnée, les fonds ayant eu le meilleur comportement et le meilleur rendement corrigé du risque, au cours des dernières années. Morningstar ne note que les fonds affichant au moins 3 ans d’ancienneté.
L’outil de sélection du site permet de trier les Sicav et FCP par catégorie, par société de gestion et par performance sur une période donnée. Vous pouvez par exemple filtrer les fonds avec une performance supérieure à 5 % sur trois ans.
Une petite précision toutefois : cette notation quantitative repose sur un algorithme qui note la performance passée. Il est donc nécessaire de déterminer aussi le profil pour le futur de l’OPCVM. Cela se fait par un système de notation qualitative.
La notation qualitative vient compléter la notation quantitative.
La notation qualitative permet de dépasser le débat “bon fonds” contre “mauvais fonds”. La note qualitative s’obtient en combinant des données fondamentales sur plus de 9 millions de titres financiers et plus de 150 000 OPC dans le monde entier, complétées par les recherches des analystes de Morningstar.
La notation qualitative fournit aux investisseurs une évaluation des forces et des faiblesses d’une Sicav ou d’un FCP. Le rapport de recherche Morningstar qui accompagne la note explique de manière détaillée les raisons de la note. Il donne également une idée précise de la stratégie de l’OPCVM, ce qui permet d’expliquer le comportement du fonds dans des environnements de marchés différents. On peut ainsi comprendre comment un fonds peut s’intégrer dans un portefeuille diversifié.
Prenez de la hauteur. Vérifiez la performance long terme de l’OPCVM par rapport à ses pairs et aux indices de référence (benchmarks). Vous éliminerez ainsi d’emblée les Sicav et FCP les plus mauvais.
La volatilité mesure l’écart de performance d’un fonds par rapport à sa moyenne : plus la volatilité est importante, plus un OPCVM est susceptible de s’écarter de sa moyenne. Inversement, un fonds affichant une faible volatilité vous réservera moins de surprises, sa performance sera plus stable dans le temps.
Si vous êtes susceptible de devoir sortir d’un fonds à tout moment, préférez les fonds peu volatils. Si votre horizon d’investissement est plus long, vous pouvez envisager des fonds plus volatils.
Quelle est la structure financière de la société de gestion du fonds ? Sa structure financière est-elle solide ? La société existera-t-elle encore dans 10 ans ?
Il faut prendre en compte la structure financière de la société de gestion, la stabilité de ses effectifs et le mode de rémunération et d’intéressement des gérants. Étudiez aussi la culture et la philosophie de gestion de la société.
L’évaluation de la qualité de l’équipe de gestion pèse beaucoup dans la note finale d’un OPCVM. Morningstar tient compte de l’expérience, des qualifications, du tempérament, de la charge de travail, du support analytique et de la structure de la rémunération.
Un fonds est soit process-driven, soit discrétionnaire.
Process-driven
La sélection des actifs se fait dans le cadre strict d’une méthodologie ou d’un thème d’investissement bien précis.
Discrétionnaire
Les décisions d’investissement sont prises par une seule personne suivant son jugement personnel.
De nombreux fonds sont classés dans la catégorie “diversifié”. Cela ne dit pas grand-chose ! Pour savoir ce que le gérant de l’OPCVM peut (ou ne peut pas) faire, lisez le prospectus du fonds qui détaille sa stratégie d’investissement.
Ensuite, vérifiez la cohérence du contenu du portefeuille avec le processus de gestion annoncé. Consultez non seulement les indicateurs de risques historiques mais aussi l’exposition du portefeuille (titres, secteurs, pays, valorisation, capitalisation, etc.).
Si à la lecture du dernier rapport de gestion détaillé de la Sicav ou du FCP, vous trouvez des signes d‘incohérence par rapport à la stratégie annoncée, une petite sonnette d’alarme doit sonner dans votre tête.
Repérez les périodes de fortes baisses (lors des crises par exemple) sur les marchés financiers et étudiez le comportement de l’OPCVM pendant cette période. Si un fonds parvient à résister lors de périodes de baisse des marchés, c’est bon signe.
Morningstar publie le Total Expense Ratio (TER) de chaque fonds, qui exprime les coûts totaux associés à la gestion du fonds au montant des avoirs sous gestion.
La TER est un critère de sélection important car les coûts de fonctionnement affectent directement votre retour sur investissement. Par exemple, si un fonds affiche un gain de 8 % par an mais que ce fonds a un TER de 5 %, le gain net de frais n’est plus que 3 %.
Sachez à l’avance pour quelles raisons vous seriez susceptible de devoir sortir de l’OPCVM. Nous voyons deux raisons possibles : votre stratégie a changé ou bien le fonds ne se comporte pas comme attendu.
On peut vouloir sortir d’un OPCVM si on change de stratégie à la faveur de nouvelles conditions de marché. Par exemple : remplacer un fonds défensif par un fonds plus agressif ou un fonds indiciel quand les opérateurs retrouvent leur appétit pour le risque, afin de capter la hausse.
Vous pourrez vouloir sortir d’une Sicav ou d’un FCP si ce dernier ne fait pas ce qu’il est supposé faire : Uu fonds défensif plus volatil que prévu ou un fonds agressif qui sous-performe systématiquement en marché haussier par exemple.
Toutes nos informations sont, par nature, génériques. Elles ne tiennent pas compte de votre situation personnelle et ne constituent en aucune façon des recommandations personnalisées en vue de la réalisation de transactions et ne peuvent être assimilées à une prestation de conseil en investissement financier, ni à une incitation quelconque à acheter ou vendre des instruments financiers. Le lecteur est seul responsable de l’utilisation de l’information fournie, sans qu’aucun recours contre la société éditrice de Cafedelabourse.com ne soit possible. La responsabilité de la société éditrice de Cafedelabourse.com ne pourra en aucun cas être engagée en cas d’erreur, d’omission ou d’investissement inopportun.
Clémence Tanguy |
Responsable Editoriale – Café de la Bourse
Après des études littéraires et une double formation en communication à la Sorbonne et au CELSA, Clémence Tanguy a travaillé à la SNCF et au Conseil Général des Hauts-de-Seine avant d’intégrer l’équipe de Café de la Bourse en 2015. Elle est en charge des sujets relatifs à l’actualité macro-économique, aux crypto-monnaies, aux produits financiers, aux finances personnelles et à l’investissement en général, avec une approche pédagogique et pragmatique.
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